J'ai aimé prendre le temps, il y a longtemps, de te faire une apologie de la seconde chance, TA seconde chance, car c'est de toi qu'il s'agit.<br />
Oui, Simon, je t'ai aimé, néammoins... ce n'est plus le cas. Pourquoi ?<br />
Tu était délicieux, tel l'ouvert d'esprit/garçon à qui on peut parler/chouette toussa toussa, et ces moments partagés, jamais je ne les oublierais.<br />
La chute vint lorsqu'un beau jour tu devint un autre, ce prétentieux quelque peu imperméable à la critique. J'ai essayé de te faire réagir, en vain, et c'est très dommage.<br />
Quand j'observe ce que tu es devenu, en brisant les barrières que tu as imposé entre nous, je suis très triste. Ce que je vois ? un être vide encore enfant, se croyant plus fort que tout, sachant tout, tout, tout. tu t'insatisfais d'un rien tel le capricieux ? qui sait.<br />
A partir de là : pose toi les bonnes questions, je pense que ton problème est là, tu te positionnes mal par rapport à toi même et pourtant c'est important.<br />
Ne prends pas mal cette petite intervention, tu as parfois du bon, et ça je le sais du plus profond.<br />
Bisous de la nuit.